La colère et l'incompréhension des “presque sœurs” du roman de Cloé Korman, finaliste du prix Goncourt – Télérama.fr

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Valérie Lehoux
Publié le 01/11/22
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Cloé Korman raconte l’histoire de ses cousines et de trois autres petites filles juives pendant la Seconde Guerre mondiale.
Photo Hermance TRIAY/opale.photo
C’est l’un des romans dont on parle ces temps-ci, et l’un des finalistes pour le prochain prix Goncourt : Presque sœurs, de Cloé Korman, retrace le parcours de six petites filles juives pendant la Seconde Guerre mondiale. Nous en avons publié une – bonne – critique. Mais les jours suivants, un e-mail nous est arrivé, parlant d’un « vol d’histoire ». « Madame Korman vous a-t-elle dit que son “roman” était essentiellement basé sur les témoignages de mes deux sœurs aînées, qu’elle a rencontrées en 2019, et auxquelles elle n’a jamais dit qu’elle allait parler d’elles dans son livre ? » demandait la femme qui nous écrivait.
Cloé Korman ne nous avait rien dit, pour la bonne raison que nous ne lui avions rien demandé – une critique se fait sur la seule lecture d’un ouvrage, sans entretien avec l’auteur, ce que les lecteurs ne savent pas forcément. Par ailleurs, dans ce livre labélisé « roman », mais qui sur bien des points ressemble à un récit, Cloé Korman raconte en effet avoir rencontré plusieurs des protagonistes de son histoire, petites filles de la guerre devenues vieilles dames d’aujourd’hui. Mais les reproches adressés étaient trop vifs pour qu’on ne tente pas de comprendre, le plus justement possible, ce qui les motivait. Nous avons donc appelé la femme de l’e-mail et l’une de ses sœurs. Puis, bien sûr, Cloé Korman – et son éditeur. De chaque côté, beaucoup d’émotion. Et entre les deux, une souffrance impossible à éteindre, et l’éternelle question de la liberté, et de la responsabilité, de l’artiste.
Tout commence par une démarche d’Esther, la sœur de Cloé Korman. Elle souhaite en savoir plus sur leurs petites-cousines 1, qui vivaient à Montargis (Loiret) et sont mortes à Auschwitz. Au cours de ses recherches, Esther apprend qu’elles avaient trois amies, très proches, les sœurs Novodorsqui ; arrêtées, elles aussi, parce que juives elles aussi. Aux unes et aux autres, on a arraché les parents, des Juifs polonais : les Korman ont été déportés vers Auschwitz ainsi que la mère des Novodorsqui, tandis que leur père est retenu dans un camp de travailleurs étrangers en zone sud.
Les six fillettes partageront plus que ce déchirement : elles vivront ensemble une partie de leur propre rétention, dans le camp de Beaune-la-Rolande puis dans les foyers de l’Ugif, l’Union générale des Israélites de France. Mais, à l’inverse des Korman, les petites Novodorsqui parviendront à s’échapper.
Leur famille comptait une quatrième enfant, bébé pendant la guerre et placée chez une femme qui en prit soin. C’est elle qui, près de quatre-vingts ans plus tard, nous a écrit. « Esther Korman est venue me voir un jour, elle voulait des renseignements sur ses cousines. Je lui ai donné tout ce que je pouvais et elle a contacté ma sœur aînée. Elle a ensuite écrit un petit livret, à destination privée, tout à fait correct. » Rien à redire.
De leur côté, les sœurs Novodorsqui avaient déjà raconté leur histoire : l’aînée et la benjamine, Raymonde et Monique, ont signé un livre en 2018, Mes enfants, il faut que je parte… (éd. L’Harmattan), avec la participation de l’historienne Katy Hazan, et préfacé par Serge Klarsfeld. Quant à Suzanne, la cadette, elle a l’habitude de retracer leur parcours dans le cadre des témoignages organisés dans les établissements scolaires.
À Montargis, petite ville de quarante-cinq mille habitants, beaucoup connaissent l’histoire des sœurs Novodorsqui.
Après Esther, Cloé les contacte à son tour, et leur dit son intention de raconter l’histoire. Mais laquelle ? Celle des cousines disparues ? Des six fillettes amies ? Des sœurs Novodorsqui et de leur évasion ? « Le point de départ, ce sont bien mes cousines, explique la romancière. Je savais que ces petites filles étaient mortes en déportation mais longtemps, chez nous, le chagrin était trop lourd pour que mon père en parle ou fasse des recherches. Quand ma sœur m’a appris qu’elles avaient été détenues avec d’autres enfants, quelque chose s’est mis en mouvement d’une façon assez bouleversante, pour moi et plusieurs personnes de ma famille. Mes cousines avaient 10, 5 et 3 ans au moment de leur arrestation. Les raconter me conduisait forcément vers ces amies de leur âge. Et puis en travaillant sur le sujet, j’ai rencontré un gouffre dans mes propres connaissances – et, je pense, dans des connaissances publiques : ce que fut le sort des enfants juifs privés de leurs parents et détenus par l’Ugif. Cela aussi, j’ai voulu le raconter. »
L’Ugif, Union générale des Israélites de France, avait été créée en 1941 par une loi du gouvernement de Vichy. Sa mission : « Assurer la représentation des Juifs auprès des pouvoirs publics. » Parmi ses activités, l’Ugif gérait donc des foyers, dans lesquels elle accueillait notamment des enfants dits « bloqués ». La Gestapo y avait un accès facile.
Outre ses discussions avec les sœurs Novodorsqui, Cloé Korman précise avoir lu de nombreux documents sur le sujet et consulté des historiens. Elle s’est par ailleurs rendue sur les différents lieux d’habitation et de détention des petites filles.
En février dernier, Cloé Korman adresse aux quatre sœurs son tapuscrit avant publication. Les intéressées le vivent mal. Elles n’avaient pas imaginé se retrouver parmi les personnages principaux d’un roman qui contient forcément sa part de fiction et d’extrapolation littéraire. « Pour nous, il n’avait jamais été question qu’elle raconte notre histoire, qui plus est de cette façon, et sans nous demander l’autorisation préalable », martèlent les dames, bousculées.
Elles formulent plusieurs demandes, dont le changement de leur nom et prénoms – ce qui sera fait : dans le livre, elles se nomment Andrée, Jeanne, Rose et Madeleine Kaminsky. Mais lors du premier tirage, elles découvrent, stupéfaites, que le patronyme de leur père apparaît encore – sous une orthographe légèrement différente, celle précédant la naturalisation. « C’est en effet une erreur, reconnaît Cloé Korman, et dès que je m’en suis rendu compte, je l’ai immédiatement signalé. Le jour même, cela a été corrigé pour les prochaines impressions. » Frédéric Mora, des éditions du Seuil, certifie que l’autrice l’a en effet alerté avant même que les sœurs Novodorsqui ne le fassent. « La coquille n’a certainement pas le même impact sur eux que sur nous », regrette Monique.
Mais l’essentiel réside ailleurs : même parées d’autres noms, elles assurent qu’on peut les reconnaître, tant leur histoire est à la fois remarquable et circonstanciée. Or elles voient le livre comme une dépossession (ou un accaparement) de leur histoire, pas comme un hommage. Ce qui, de fait, ne peut que se heurter à la démarche de l’autrice. « Pour parler de mes petites-cousines, je ne pouvais pas me contenter d’informations puisées dans les archives. Car que racontent celles-ci ? Qu’elles ont été détenues là, puis là-bas, ensuite dans un autre endroit, puis déportées en Allemagne… Et moi, ce qui m’a bouleversée, c’est qu’elles ont traversé cette époque avec des amies. À partir de juillet 1942, les destins des six petites filles sont liés. Cela aurait été comme une mutilation de le taire. D’ailleurs, à chacun de nos échanges avec les sœurs Novodorsqui, nous parlions d’elles autant que de mes cousines. Et ce qui rendait vivantes les petites Korman, c’était justement leurs voix. Des voix témoins qui me parlaient de Mireille, Jacqueline et Henriette avec douceur. Avec la tendresse des souvenirs d’enfance. »
Le livre retrace donc leurs parcours à elles six, et s’attarde même sur celles qui se sont échappées – il salue le « génie de l’enfance », comme noté sur sa quatrième de couverture. Mais puisqu’il est un roman, le récit de Cloé Korman ne coïncide pas exactement avec celui des sœurs Novodorsqui. D’où leur malaise. « J’ai peur que maintenant, quand j’irai témoigner dans les écoles, on me prenne pour une menteuse », s’inquiète Suzanne, 90 ans. Elle nous dira encore son émoi quand, interpellée récemment dans la rue après une émission de France Inter, on lui demande : « Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire ? On dirait la vôtre, et pourtant ça ne l’est pas vraiment… »
Il est toujours très compliqué de voir son histoire romancée – surtout quand elle touche à un drame tel que la Shoah. Pour les sœurs, il est clairement douloureux de découvrir un regard étranger sur leur enfance si déchirée ; sur leur père, disparu en 1965 ; sur d’autres adultes qu’elles croisèrent pendant la guerre. Difficile de se voir attribuer des sentiments qu’elles ne revendiquent pas forcément ; ou de ne rien lire, à l’inverse, sur des épisodes qui les ont marquées – comme leur isolement forcé à l’hôpital Saint-Louis, à cause de la gale, entre deux lieux d’internement.
Afin qu’on les identifie moins facilement, elles souhaitaient que les lieux cités, notamment la ville de Montargis, soient changés. Cloé Korman ne l’a pas fait, et elle assume son choix. « Autant je comprends très bien qu’elles aient voulu changer leur nom se retrouver dans une représentation qu’on n’a pas maîtrisée, c’est forcément troublant , autant je ne peux pas tout transformer. J’écris aussi pour mes cousines mortes qui, elles, ne sont plus là pour raconter. Et mes cousines étaient à Montargis. Mon roman est plein d’un souci d’exactitude. Montargis, c’est le Loiret. Le Loiret, c’est la mise à feu du génocide en France. Changer le nom de cette ville, par rapport à la mémoire de ma propre famille, par rapport à mon grand-père qui est revenu de son exil en Suisse avant même qu’on ouvre les frontières pour essayer de retrouver les traces de ses nièces à Montargis, ce serait comme changer le nom Korman. »
Dans son roman, Cloé Korman cite notamment le convoi du 17 juillet 1942, qui quitta la gare de Pithiviers, près de Montargis, pour Auschwitz, y conduisant 928 Juifs. « Celui-ci, écrit-elle, sert à évacuer les camps du Loiret qui vont bientôt être remplis de Parisiens, la rafle du Vél d’Hiv ayant eu lieu le même jour. C’est la manifestation en province de cette gigantesque battue. »
Enfin, les sœurs vivent très mal la révélation de certains détails privés, tels les soucis de santé de Raymonde, ou un prélèvement de cornée effectué il y a deux ans sur son défunt mari. « Quel rapport avec la guerre et la déportation ?, demande Monique. Je n’étais pas au courant de cette histoire de don d’organe. Pas plus que d’autres membres de notre famille. Pour nous, cet étalage est extrêmement choquant. »
L’information a été confiée à Cloé Korman par une veuve visiblement bouleversée. Pourquoi l’avoir utilisée ? « Dans ce livre, je mets en scène le regard. Je parle de caméras de surveillance, je raconte un épisode avec une amie photographe. Ce thème du regard revient d’autant plus régulièrement que ceux qui ont vu l’horreur sont en train de disparaître. Quant à Raymonde, elle m’a fascinée par sa puissance à penser sa vie au-delà du drame. À travers le détail que vous citez, j’ai voulu parler du regard amoureux, celui qui lui a fait vivre d’autres vies après la guerre. » Un parti pris narratif délicat, pas vécu de la même façon selon l’endroit où l’on se trouve. En raison de sa fragilité, nous n’avons pas pu joindre Raymonde, 93 ans.
Toutes les règles juridiques habituelles s’appliquent si l’on peut, derrière un personnage de fiction, reconnaître une personne réelle et vivante. En clair, « si un individu reconnaissable s’estime diffamé, il peut agir en diffamation, explique maître Bigot, avocat au barreau de Paris 2. Il peut aussi agir en justice s’il a été porté atteinte à sa vie privée. Mais une fois que vous autorisez la publication, il ne peut pas y avoir de débat judiciaire. »
Du côté de l’éditeur, Frédéric Mora indique avoir transmis à l’avocate du Seuil les remarques des sœurs dès réception, et avoir tenu compte de leur souhait d’anonymat.
Pour le reste, Monique Novodorsqui dit ne pas avoir l’intention d’engager de recours. « Consulter un avocat, c’est fatigant et c’est cher. Et puis à quoi bon maintenant ? »
Frédéric Mora, pour sa part, insiste sur « le soutien plein et entier apporté à Cloé Korman, au nom de [sa] maison et en [son] nom propre » : « Son livre nous a paru de totale bonne foi, puissant dans sa force d’évocation, sobre dans sa facture à la fois formelle et thématique. »
Ce type de divergence n’a rien d’inédit. Il illustre les tensions, récurrentes, qui existent entre la réalité et la fiction, entre l’expérience vécue et la liberté de création, dès lors que des individus sont faits personnages de roman. D’autant qu’ici s’ajoutent d’autres tensions, elles aussi quasi inéluctables, entre la mémoire et l’histoire – et lorsque la mémoire concerne la Shoah, les douleurs engendrées sont immenses.
Se pose aussi, bien sûr, une question éthique : celle de la responsabilité de l’écrivain. Que peut-on dire, ou pas, qui soit susceptible d’influer sur la vie des autres ? Chacun y apportera sa réponse. « Oui, je me sens une responsabilité, assure Cloé Korman, mais pas seulement vis-à-vis des sœurs Novodorsqui. Ma responsabilité, c’est de raconter une histoire qui puisse être appréhendée par le plus grand nombre. Depuis la sortie du livre, je reçois des témoignages d’anciens enfants internés par l’Ugif, qui me remercient d’en parler. Il a été sidérant pour moi d’apprendre que des milliers de petites filles et petits garçons avaient vécu deux ans dans ces foyers, ces purgatoires des enfants juifs. Et même si des historiens avaient déjà travaillé sur le sujet 3, il m’importait de le raconter à ma manière. Pour transmettre largement, il faut mettre en forme ; il faut des histoires, des représentations. C’est toujours délicat. Mon histoire ne remet absolument pas en cause le récit que les sœurs ont pu faire de la leur. »
On pourra alors lire les deux ouvrages, celui de Cloé Korman et celui de Suzanne et Monique Novodorsqui. Cette dernière y écrit : « Pourquoi [ce livre] après un si long temps ? Pour que mes enfants et mes petits-enfants puissent avoir accès à cette histoire qui fut la nôtre et ne tombe pas ainsi dans l’oubli. Mais aussi pour que la micro-histoire, celle d’une famille, en l’occurrence la mienne, permette de comprendre un pan de ces années qui furent noires et grises. »
La mère des sœurs Novodorsqui mourut à Auschwitz après y avoir été déportée depuis la gare de Pithiviers le 17 juillet 1942, par le convoi n° 6, avec sa belle-sœur et sa nièce de 13 ans.
Chava et Lysora Korman, les parents des cousines, y furent aussi assassinés, amenés à Auschwitz par le même convoi.
Leurs trois filles y furent déportées deux ans plus tard, le 31 juillet 1944, par le convoi 77, le dernier de cette importance, après qu’Aloïs Brunner, commandant du camp de Drancy, eut ordonné de vider tous les centres de l’Ugif. Mireille, Jacqueline et Henriette furent gazées dès leur arrivée. Elles avaient 12 ans, 7 ans et 5 ans.
1 Précisément : les filles de l’oncle du père de Cloé Korman.
2 Maître Bigot est également l’avocat de Télérama.
3 On pourra lire notamment Un engrenage fatal. L’Ugif face aux réalités de la Shoah, 1941-1944, de Michel Laffitte, éd. Liana Levi, 2003.
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